C'est dans une déclaration que L’ Association Nationale des Chroniqueurs Judiciaires - ANCJ condamne fermement l’agression barbare de Mamadou Sakine, journaliste au Journal Le Quotidien, perpétrée par un gendarme en faction au Palais de justice. Alors que le reporter ne faisait que son travail.
En effet, lundi 3 septembre dernier, des justiciables qui avaient une audience à la Cour d’appel ont été évacués sur ordre du président de séance. L’un des gendarmes s’en prenait à une dame en dehors du Tribunal et le journaliste en question, connu pour son sérieux et son professionnalisme, a voulu immortaliser cet acte barbare. Le gendarme s’en prend alors physiquement au journaliste en lui administrant un coup de tête. Ce qui lui a occasionné des blessures.
Selon le journaliste en personne, le coup de tête reçu du gendarme a occasionné une blessure de 3cm de diamètre au niveau de sa lèvre supérieure. Son téléphone a été aussi saisi. En aucun moment il n’a réagi à l’agression. Il déclare que son seul "tort", c' est d’avoir pris des photos dans l’exercice de son métier lorsque cet agent de la force publique s’en prenait à des hommes et des femmes de façon violente. C’était devant la grande porte du palais de justice.
Selon le journaliste en personne, le coup de tête reçu du gendarme a occasionné une blessure de 3cm de diamètre au niveau de sa lèvre supérieure. Son téléphone a été aussi saisi. En aucun moment il n’a réagi à l’agression. Il déclare que son seul "tort", c' est d’avoir pris des photos dans l’exercice de son métier lorsque cet agent de la force publique s’en prenait à des hommes et des femmes de façon violente. C’était devant la grande porte du palais de justice.
L’ Association Nationale des Chroniqueurs Judiciaires - ANCJ rappelle aux gendarmes que les journalistes sont envoyés en mission au palais de justice, tout comme le sont les gendarmes d’ailleurs.
Ainsi, le haut commandement est saisi pour que de telles pratiques d’un autre âge cessent. Enfin, l’Ancj compte accompagner le confrère pour toute action judiciaire qu’il voudra donner à cette affaire aux relents d’abus de pouvoir.
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